Les internes en médecine, « bouche-trous » de l’hôpital en crise
A partir de 18 heures, les portes battantes qui marquent l’entrée de l’internat ne cessent de s’ouvrir et de se refermer dans un bruit sourd. Chaque claquement marque la fin d’une journée de travail, ou le début d’une autre.
Le Monde.fr, Charlotte Chabas, 10.10.2012
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